Livre d’or La patate douce

Difficile de mettre des mots sur cette expérience qui est pour moi la preuve d’une vraie réussite d’organisation, de mise en place d’une logistique mutualisée, puis d’un vivre ensembles devenu réalité. Une artiste du collectif

Ce qui m’a touché avec votre collectif, c’est que tous les discours que vous avez tenus en amont, ce n’était pas du vent. Vous avez réussi réellement à créer une ambiance chaleureuse, calme, respectueuse des installations, du public. Vous avez réussi à créer un espace qui favorise les échanges. C’est avec des petites touches comme celles-là que le lien social va se récréer. Ce qui m’a un peu étonné, c’est qu’un collectif de 80 personnes arrive à vivre comme ça ensemble, en plein air sans s’engueuler. J’ai pas entendu un cri ! Peut-être que c’est le matin ou le soir avant que je n’arrive… Eric Vigier, directeur du Centre Social Cap Blanc, devant lequel le collectif de la Patate Douce a pris vie en 2015 et 2016 au festival d’Aurillac

Merci pour l’accueil fait aux bénévoles, on avait l’impression de faire partie de votre équipe, c’était un plaisir d’œuvrer au succès du collectif, et une belle façon de vivre le festival, bien plus intéressante qu’en simple consommateur. Un bénévole du collectif

J’ai beaucoup apprécié ce temps partagé à Chalon avec vous, avec les compagnies, les autres bénévoles, etc… Ce sont des journées très ressourçantes pour moi. J’admire beaucoup votre volonté de créer un beau lieu, de proposer non seulement des spectacles joyeux, profonds, poétiques, drôles, mais aussi de faire en sorte que chacun puisse s’y sentir bien. J’admire le fait de mettre tant et tant d’énergie dans un projet de quelques jours. Je mets cela en lien avec les moines bouddhistes quand ils réalisent un mandala éphémère avec le sable. Une fois l’œuvre terminée, ils la laissent disparaître avec le vent, l’eau… Ils sont ainsi dans une conception de l’œuvre dans laquelle l’objectif se confond avec le chemin, et qui nous ramène à l’unicité de chaque instant, au fait que la vie est éphémère… Une bénévole dont c’est la troisième participation


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La Patate Douce est un lieu très accueillant. Tous les camions, affiches et cordes pour boucler le périmètre, c’est chouette et très tape à l’œil ! La déco intérieure est sobre et accueillante, c’est un lieu ombragé où on a envie de se poser. Des bénévoles présents à l’entrée pour infos, très bien : présents sans « racoller ». Thomas, membre des Cies de Passage, Festival d’Aurillac

Avec l’ambiance tendue et les contrôles renforcés dans le centre ville d’Aurillac, j’ai l’impression d’arriver ici dans un havre de paix. Une personne du public à l’entrée du site

En tant que bénévole, c’était très valorisant d’être à l’accueil du site, parce que j’étais trop fière de présenter le lieu et les spectacles. C’est primordial d’accueillir le public dans un lieu où on est sûr qu’ils seront bien. J’ai beaucoup aimé l’attention, la beauté et la bienveillance offerte. Un bénévole du collectif

Il y a une certaine magie, à faire jaillir une cuisine pour 90 personnes durant une semaine, d’une dalle de parking sur laquelle il n’y avait rien jusque-là ! J’apprécie le travail en cuisine parce que c’est un espace-poumon au sein d’un collectif comme le nôtre, auquel on vient se ressourcer. Le travail des mains, le côte à côte dans la réalisation, la réunion d’un groupe éphémère qui réalise le repas, et même un petit concert improvisé lorsqu’il pleuvait… tout cela contribue à tisser des liens d’une autre manière. Un cuisinier bénévole du collectif

J’ai beaucoup aimé l’idée de se lier avec les voisins. Suite à l’apéro, on les a revus plusieurs jours de suite du côté de l’accueil et des spectacles. Et on avait presque l’impression pour certains, qu’ils étaient complices du collectif. Une bénévole

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